Nos limites intérieures

Chaque jour autour de moi, je vois ces femmes, ces hommes, qui se fixent des limites intérieures. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Ces barrières sont parfois là pour nous alerter, nous faire ralentir, nous demander de nous écouter. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Et parfois, ces obstacles sont des peurs, des peurs cachées, inconscientes, difficiles à décrypter mais pourtant si bruyantes en nous.

Elles s’expriment par un épuisement, un poids dans le corps, des questionnements inexprimables, un sommeil changeant, une asphyxie.

Alors il s’agit là de savoir quoi faire de tout ça ? ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀

Tantôt, il est nécessaire d’accepter de s’accorder un temps de pause pour repartir de plus belle.
Tantôt, il faut savoir écouter quels sont les messages de notre fatigue intérieure. Apprendre à les accueillir, s’isoler ou partager, ressentir ce que cela provoque en nous afin de mieux les identifier, afin de mieux les comprendre, afin de mieux se comprendre. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Alors, est-il temps de diminuer le rythme ou de l’accentuer ? ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
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Je crois que l’optimisme est toujours la meilleure des solutions. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Chaque moment, chaque joie, chaque pensée, chaque difficulté est là pour nous façonner si nous acceptons de vivre les choses pleinement et de nous y confronter.

Je crois que l’action engendre l’action.

Se reposer pour préparer petit à petit un nouveau plan d’attaque, s’instaurer une routine sur quelques jours pour se remettre en mouvement, constater que l’on est à nouveau debout. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Je crois que la connaissance intérieure est primordiale pour dompter son mental. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Dans ces moments, n’oubliez jamais que l’on croit toujours plus que ce que l’on croit pouvoir . . . ⠀⠀⠀

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