J’ai toujours été contre la médicamentation.

Aujourd’hui, des médicaments existent pour chaque petit bobo, chaque maladie, du simple rhume à la maladie chronique voir mortelle. Des substances ont été créées pour contrôler nos cerveaux, nos pensées, nos failles et même nos plus petites émotions.

  • Comment expliquez-vous que des malades chroniques, traités par toutes les chimies possibles, atterrissent dans mon cabinet pour me demander une aide de dernier recours ?
  • Comment expliquez-vous que la douleur ne trouve plus de remède à être étouffée par des produits ?
  • Comment expliquez-vous qu’un anti dépresseur n’empêche pas la dépression ?
  • Comment expliquez-vous qu’un régulateur d’humeur vous mette tellement KO qu’il vous vole des instants de vie durant lesquels vous êtes physiquement présent mais réellement absent ?

Être condamné à se penser condamné sans ce(s) petit(s) cachet(s).

Il n’est pas question ici de réprouver la chimie et la médecine, bien sur que non. Il serait plutôt question de savoir l’interroger, la mettre en concurrence avec d’autres méthodes. Et pour certaines pathologies l’exigeant sans conditions trouver un équilibre entre chimie et esprit.

Je ne suis plus contre la médicamentation indispensable, ouverte d’esprit, soulageante, modérée, accompagnante.
Je suis contre la médicamentation facile, qui ne s’explique pas, qui se dédouane et qui annihile.

Ce que je prône ici est la puissance de notre esprit.

Car croyez-moi : si celui-ci est parfois très fort pour nous détruire, il l’est d’autant plus pour nous sauver.
Alors prenez rendez-vous, laissez vous guider par ma voix pour trouver vos propres réponses et retrouver votre plus belle liberté.

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